Test Galaxy S25 Edge : avec ce smartphone, Samsung a voulu jouer au plus fin 4s1b3t

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Le Galaxy S25 Edge est le nouveau pari fou de Samsung. Avec ce modèle, la marque coréenne propose le smartphone le plus fin du marché : 5,8 mm ! Une taille de guêpe, mais aussi un terminal ultra haut de gamme. Notre test complet.
En 2025, la gamme Samsung Galaxy S accueille un petit nouveau : le Galaxy S25 Edge. Un terminal qui souhaite allier toutes les qualités de ses grands frères, mais qui veut surtout marquer les esprits grâce à sa finesse impressionnante : 5,8 mm ! Un record sur le marché.
Ce n’est pas qu’un châssis ultra fin, mais aussi un smartphone qui séduit en termes de technique. Sur le papier, il n’a pas à rougir face aux autres terminaux de la marque : bel écran, processeur performant, appareil photo hérité du S25 Ultra. Un vrai haut de gamme. Cependant, son design a forcément nécessité quelques sacrifices, comme au niveau de l’autonomie et de la puissance. Un choix pertinent ?
Nous avons disséqué le Galaxy S25 Edge dans tous les sens afin de vous livrer un avis complet. Son design est-il un game-changer ? L’autonomie tient-elle la route ? Est-ce simplement un bon smartphone ? Réponse tout de suite.
Prix et disponibilité 5y703g
Le Galaxy S25 Edge est disponible dès à présent sur le site de Samsung et chez les revendeurs partenaires. Voici les prix affichés sur le site officiel :
- 256 Go : 1252 euros
- 512 Go : 1372 euros
Notons qu’il s’agit des tarifs au lancement, donc sans promos ni offres de reprise. Actuellement, Samsung propose une affaire intéressante, en vendant la version 512 Go au prix de la version 256 Go. Avec ce prix, le S25 Edge se place définitivement en tant que produit ultra haut de gamme. Il est plus cher que le S25+ (1172 euros en 256 Go), mais tout de même en dessous du S25 Ultra (1472 euros). C’est bien évidemment la finesse qui se paye.
Samsung Galaxy S25 Edge | |
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Ecran | Dynamic AMOLED 2X 6.7" QHD+ LTPO 2.0 1-120 Hz HDR10+ Gorilla Glass Ceramic 2 |
Chipset | Qualcomm Snapdragon 8 Elite |
OS | Android 15 + One UI 7 |
RAM | 12 Go |
Stockage | 256/512 Go |
microSD | Non |
Capteur principal | * 200 MP grand angle f/1,7 * 12 MP ultra grand angle f/2,2 * Autofocus laser |
Capteur selfie | * 12 MP grand angle f/2,2 |
Batterie | 3900 mAh, charge rapide 25 Watts |
5G | Oui |
Biométrie | Scanner d’empreinte ultrasonique sous l'écran |
Résistance à l'eau | IP68 |
Galaxy IA | Oui |
Châssis | Titane |
Dimensions | 158,2 x 75,6 x 5,8 mm |
Poids | 163 grammes |
Prix | * 256 Go : 1252 euros * 512 Go : 1372 euros |
Un design tout fin tout flamme h3d40
Le design du Galaxy S25 Edge s’axe, vous l’aurez deviné, sur un élément bien précis : sa finesse. Oui, le smartphone n’est pas épais avec ses tranches de 5,8 mm seulement. C’est presque moitié moins que le Galaxy S25 Ultra ! Qui plus est, il est servi par un design , avec un cerclage en titane très agréable sous les doigts et un dos en verre trempé (noir, blanc ou bleu glacier). Mais ce qui surprend le plus, c’est son poids plume de 163 grammes. Le Galaxy S25+, qui adopte la même taille d’écran, pèse 190 grammes à titre de comparaison. En main, c’est très agréable.


Une telle finesse est bluffante. Une vraie prouesse technique, c’est indéniable. Nous avons l’impression d’avoir une fine plaque de métal sur laquelle est posée une image. Oui, ça surprend et ça donne un certain cachet au produit. Nous avons un smartphone ultra haut de gamme qui s’assume dans son design.
Nous devons avouer que nous craignions de le mettre dans notre poche dans un premier temps, de peur de le plier. C’est là que le choix du titane se montre pertinent. Même sous pression, le smartphone reste droit. Une solidité aussi présente sur l’écran, puisqu’il est certifié Gorilla Glass Victus 2. Ajoutons à cela qu’il est aussi résistant à l’eau et à la poussière (IP68). On apprécie cette fiabilité.
Posons-nous la question la plus importante : quel est l’intérêt d’une telle prouesse ? Concrètement, avoir un smartphone si fin ne change pas drastiquement l’expérience. Oui, c’est impressionnant dans un premier temps, mais cet effet « whaou » disparaît rapidement. Les petites mains pourraient y trouver leur compte, la préhension étant légèrement améliorée, et il se cale un peu mieux dans une poche, mais en réalité, ce n’est pas l’intérêt principal de cette finesse. Le Galaxy S25 Edge est avant tout un objet statutaire. Un jouet qui suscite la curiosité. Quand on le sort, il attire forcément l’attention. Là est le réel intérêt du terminal de Samsung, au consommateur d’y trouver son compte.
Soyons précis : l’épaisseur de 5,8 mm ne concerne que le « corps » du téléphone et ne compte pas le module photo qui ressort énormément. Un appendice qui le rend extrêmement bancal quand il est posé sur le dos. C’est un défaut qu’on retrouve souvent sur les smartphones, mais cette finesse record le rend plus gênant. D’ailleurs, le module est à la fois le plus grand sacrifice du Edge et ce qui le différencie de ses grands frères. En effet, il ne compte que deux capteurs, et non trois. Ainsi, on le reconnaît au premier coup d’œil.
Pour l’aspect visuel, le S25 Edge reprend les grandes lignes des S25 et S25+, avec ses tranches plates (mais fines) qui font sa personnalité. Partie écran, rien à signaler, tout est en ordre avec un affichage bord à bord (ratio de 92%) et un poinçon au centre. Le capteur d’empreintes est, comme toujours, sous l’écran et fonctionne parfaitement.
En résumé, un smartphone qui impressionne par sa finesse et sa légèreté, et qui reprend les recettes des précédents Galaxy S25. Un design presque statutaire, tant le sortir de sa poche attire les regards. Samsung réussit donc son coup, mais il est maintenant temps de voir si le produit suit au niveau de la technique.
Un écran tout bonnement parfait 3940x
Le Galaxy S25 Edge est équipé d’une dalle AMOLED 2X de 6,7 pouces (même taille que le S25+) d’une définition de 3120 x 1440 pixels. Il s’agit d’un écran LTPO avec un rafraîchissement dynamique de 1 à 120 Hz. Tuons le suspense tout de suite : Samsung a l’habitude de nous régaler avec ses écrans et le S25 Edge ne fait pas exception à la règle.
Nous avons évidemment é la dalle sous la lentille de notre sonde et les résultats obtenus sont parfaits. AMOLED oblige, le contraste est quasi-infini, avec des noirs profonds (pixel éteint) et des blancs éclatants. Cela se ressent en jeu ou lors de visionnages de films, surtout dans les scènes sombres ; l’action reste claire. Autre atout de l’écran du Edge, sa luminosité qui grimpe à 1000 cd/m² en SDR. En extérieur, même par jour de grand soleil, l'image reste parfaitement lisible. Un vrai plus !
Côté calibrage, Samsung a l’habitude de nous proposer quelque chose de très carré, c’est aussi le cas ici avec une température de 6400K, soit très proche des 6500K de référence. Sur un affichage blanc, la dalle ne tire ni vers le rouge, ni vers le bleu. Deux profils colorimétriques sont disponibles dans les paramètres : Vif et Naturel. Le premier exagère volontairement les verts et les jaunes pour donner du peps à l’image, mais reste assez cohérent dans le respect des couleurs (Delta E moyen à 2,2). Le mode Naturel, pour sa part, affiche un immense respect avec un Delta E moyen à 1,1. C’est celui-ci qu’il faudra choisir pour un affichage le plus proche possible de la réalité, surtout lorsqu’on regarde ses photos. Samsung réussit encore une fois à rendre une copie parfaite concernant sa dalle. Un calibrage maîtrisé.
Le tableau est un peu moins brillant concernant l’audio. Logique, puisque la taille réduite du terminal ne permet pas aux haut-parleurs de s’exprimer correctement. Résultat, nous avons un son voilé, avec une forte distorsion à haut volume et un énorme déséquilibre, les médiums et bas-médiums étant quasiment absents. Pour résumer en quelques mots : un son digne d’une radio fatiguée. Cela suffira pour regarder des vidéos sur le pouce, mais on conseillera tout de même l’usage d’écouteurs.
Une puissance sacrifiée… vraiment ? 51272n
Nous arrivons à l’un des points cruciaux de ce test : la puissance du smartphone. C’est en effet l’une des concessions attendues de Samsung sur son Edge. Pourtant, la marque assure que la déperdition en performance est minime, notamment à cause de l’inclusion d’une chambre à vapeur plus grande que sur le S25+, mais au détriment de la batterie. Le Galaxy S25 Edge dispose d’un processeur Qualcomm Snapdragon 8 Elite « For Galaxy », soit le même que les autres modèles de la gamme, épaulé par 12 Go de RAM. Reste à voir ce que Samsung en fait.
Après notre batterie de benchmarks habituelle, nous avons des résultats intéressants. La finesse du Edge a évidemment poussé Samsung à brider un peu son processeur (le SoC étant réputé pour sa chauffe). Sur Antutu, nous avons par exemple une perte de 10% des performances par rapport au S25 et au S25 Ultra. Quand on regarde en détail, sur Geekbench, ce sont bien les performances monocore qui pèchent. En revanche, en termes graphiques, nous avons quelque chose de similaire, bien qu’un peu en dessous. Malgré ce bridage attendu, le S25 Edge reste parmi les smartphones les plus puissants du marché.
Les chiffres, c’est bien, mais concrètement, l’utilisation du Galaxy S25 Edge ne diffère pas des autres terminaux équipés du même processeur. Tout y est fluide, sans accrocs et sans plantage, même avec énormément d’apps ouvertes. Même chose en utilisant l’IA, que ce soit pour la génération de texte ou encore pour la retouche photo où tout se fait en quelques secondes. Bref, le Edge tient sa promesse d’expérience haut de gamme.
C’est aussi le cas en jeu, tous les plus gros titres du marché, comme ZZZ, tournent en 60 images par seconde avec les graphismes à fond. C’est malheureusement ici que nous abordons le gros souci qui découle de la finesse du Edge : la gestion calamiteuse de la chauffe. Avec si peu d’espace et un cerclage en titane, le S25 Edge a malheureusement du mal à offrir une expérience agréable.
La cause est évidemment la chaleur, puisqu’au bout de 15 minutes d’activité intense (un jeu gourmand), le terminal atteint 47 degrés en surface. C’est beaucoup ! Ce n’est pas un charbon ardent, certes, mais l’avoir en main en pleine partie n’est pas franchement agréable. L’un des plus gros soucis du smartphone, mais pas le plus gênant. Il ne concerne en effet que les joueurs et ça tombe bien, ce n’est pas la cible que Samsung vise avec ce produit.
Une autonomie aussi mince que le smartphone 356820
En revanche, un autre souci vient drastiquement entâcher l'expérience : l'autonomie. Là, il sera difficile de er au-dessus. Avec le Edge, Samsung a dû réduire drastiquement la capacité de la batterie, que ce soit pour gagner en finesse ou pour laisser le processeur s’exprimer. Ainsi, il embarque un accumulateur de 3900 mAh « seulement ». Sur le papier, c’est un peu juste ! Ca l’est aussi en pratique.
Lors de notre benchmark habituel sur PC Mark (écran calé à 200 cd/m²), l’Edge ne tient même pas 14 heures. C’est peu, très peu ! La moyenne du marché tourne autour des 17 heures. Cela signifie qu’il est difficile de tenir la journée avec son téléphone. En utilisation classique (photos, navigation, GPS, un peu de jeu), nous sommes tombés à 0% de batterie en début de soirée, voire en fin d’après-midi lors des journées un peu chargées. Rude ! Cette donnée dépend énormément de l’utilisation. Par exemple, l’IA et la photo consomment plus, mais même en évitant ces usages, tenir la journée entière est difficile, surtout pour les utilisateurs qui ent beaucoup de temps dessus. Pas de chance, c’est eux que Samsung vise avec ce produit. Cette finesse record entraîne une dégradation patente du confort, et c’est dommage.
Evidemment, pas de chargeur fourni dans la boîte, mais le Edge est compatible avec la charge de 25 Watts. C’est peu, et cela signifie qu’il faudra plus de deux heures pour le recharger entièrement. Long, d’autant plus qu’il ne sera pas rare de le rebrancher en journée.
Une partie logicielle impeccable 6y5r20
Le Galaxy S25 Edge est doté d’Android 15 avec la surcouche One UI7 de Samsung. Une interface agréable qui fait la part belle à l’IA, mais pas seulement.
Par exemple, le Edge propose le Now Brief, un résumé de votre journée à venir réalisé avec l’IA, ou encore la génération de texte et la retouche de photo. Plus encore, One UI7 apporte des nouveautés intéressantes, comme un volet déroulant repensé, ou encore la Now Bar, l’équivalent Samsung de la Dynamic Island d’Apple. Utile et intelligent. Avec sa version 7, One UI est tout simplement la meilleure surcouche d’Android actuellement. Du solide.
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Une bonne partie photo, mais qui manque d’un petit truc b3x1r
Le Galaxy S25 Edge arbore un module photo avec deux capteurs : un grand angle de 200 mégapixels (f/1.7) et un ultra grand angle de 12 mégapixels (f/2.2). On remarque qu’il hérite du capteur principal du S25 Ultra ainsi que du grand angle du S25 classique. On s’étonne aussi de ne pas de trouver de troisième capteur. Pourquoi ne pas avoir inclus le téléobjectif du S25 Ultra, tant qu’à faire ? Après tout, nous avons là un smartphone ultra haut de gamme ! Il faudra donc se contenter d’un zoom numérique, dommage.
Sans surprise, le capteur principal apporte des résultats corrects, que ce soit à l’extérieur ou à l’intérieur, avec des clichés précis et des couleurs équilibrées. Cependant, on note quelques écueils que nous n’avions pas sur le S25 Ultra. Cela tient surtout au niveau des contrastes, ici assez mal gérés. Cela se voit particulièrement sur les photos de l’église, où les puits de lumière sont surexposés. Un souci à imputer au traitement logiciel.
Niveau macro, le Edge livre des résultats irables, détaillés et précis. Idéal pour prendre des détails d’un objet ou sa nourriture en photo. C’est encore le capteur principal qui est utilisé ici. Le mode portrait, quant à lui, est aussi une réussite, il découpe bien les sujets.
Pas de téléobjectif sur le Edge, le zoom se fait numériquement sur le capteur grand angle. Le zoom X2 livre des résultats très corrects. Le Zoom X4 accomplit aussi correctement sa mission, mais au-delà, ça devient compliqué. Le zoom maximal X10 offre des clichés peu précis et grandement retouchés par l’IA. Bref, le Edge n’est pas idéal pour prendre des photos de loin, comme les détails d’un monument ou lors d’un spectacle.













L’ultra grand angle de 12 mégapixels est, sans surprise, able. On note un résultat un peu bruité et une gestion de la lumière hasardeuse. Un capteur d’appoint, mais pas plus. On aurait apprécié que le capteur du S25 Edge, de 50 Mp, soit présent sur un modèle si cher.



Concernant le mode nuit, rien de nouveau sous le soleil, puisqu’on retrouve le même algorithme que sur les autres S25. Ainsi, nous avons des clichés corrects en faible luminosité, même si on regrette un traitement logiciel un peu agressif qui privilégie un rendu peu naturel, mais lisible.
Le S25 Edge est donc correct en photo. Juste correct. Pour un smartphone à plus de 1000 euros, c’est dommage, d’autant plus qu’il n’aurait pas été aberrant de reprendre le module du S25 Ultra, ou au moins son téléobjectif ou son ultra grand-angle. Sur ce point, le Edge donne une sensation d’acte manqué.
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Alors, on achète ? 6u2ya
Le Galaxy S25 Edge est un smartphone très curieux. Concrètement, il offre de grandes qualités, que ce soit au niveau de son écran, de son design ou encore de sa puissance, certes bridée mais présente. Son plus grand atout, c’est évidemment sa finesse impressionnante, de quoi séduire les acheteurs attirés par la prouesse technique. D’un autre côté, il traîne de lourds défauts, tous découlant de son épaisseur : une chauffe mal maîtrisée, une autonomie décevante, ainsi qu’une partie photo qui aurait pu être meilleure.
Qui plus est, on a du mal à comprendre son placement, coincé entre le Galaxy S25+ et le S25 Ultra, tous plus épais, mais meilleurs. Alors pourquoi opter pour un S25 Edge plutôt qu’un de ses grands frères ? La finesse est-elle un argument ? Il ne s’agit que d’un gimmick de design qui, au final, n’apporte pas grand-chose à l’expérience. Le Edge est plus fin, plus léger, mais ça s’arrête là. Mais il ne faut surtout pas négliger un point crucial : il est d’abord pensé en tant qu’objet statutaire, celui qu’on aime sortir de sa poche pour se la jouer. C’est sûr qu’il attire l’attention !
Le Galaxy S25 Edge vise donc ceux qui mettent le design au-dessus de tout, qui veulent un smartphone original et joli, sans accorder une grande importance à la photo ainsi qu'à la puissance, et qui sont prêts à sacrifier l’autonomie sur l’autel de la classe. Un produit lifestyle avant tout et sur ce point, il réussit sa mission. Toutefois, on ne comprend pas son placement tarifaire. Si seul le design compte, pourquoi ne pas opter pour un SoC moins puissant et surtout moins cher ? Concevoir un téléphone tout aussi fin, mais moins clinquant au niveau de la technique, et donc plus abordable, aurait sans doute eu plus de sens.
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Le Galaxy S25 Edge est avant tout un objet statutaire, le genre de smartphone qu’on achète pour en mettre plein la vue. Oui, sa finesse impressionne et sa légèreté enchante. Techniquement, il a aussi des atouts : écran impeccable, design soigné, puissance quand il le faut. Cependant, impossible de ne pas évoquer les défauts qui découlent de sa finesse : chauffe mal maîtrisée, appareil photo qui aurait pu être bien meilleur et surtout autonomie famélique. Un téléphone dédié à ceux qui mettent le design au-dessus de tout et qui sont prêts à faire des sacrifices.
- Finesse impressionnante
- Légèreté agréable
- Design impeccable
- Ecran magnifique
- Puissance présente
- Partie photo correcte
- La finesse oui, mais quel intérêt ?
- Partie audio ratée
- La dissipation de la chaleur
- Autonomie famélique
- Charge rapide 25 Watts seulement
- Photos qui gèrent parfois mal les contrastes
- Pourquoi ne pas avoir mis un troisième capteur ?
- Le prix