Test Motorola Razr 60 Ultra : une audace qui ne paie à tous les coups 2b74l

-
936.99€
-
1094.08€
-
1178€
-
1265.9€
-
1293.29€
-
1301.99€
-
1301.99€
Le Razr 60 Ultra a la lourde tâche de succéder au Razr 50 Ultra, un excellent smartphone pliant qui conjugue un design affuté, des technologies modernes et une paire d’écrans maitrisée. Le tout à un prix bien calibré. Ce nouveau téléphone pliant lui arrive-t-il à la cheville ? Quelles sont les nouveautés ? Le rapport qualité-prix est-il toujours au rendez-vous ? Réponse dans ce test complet. 5r3v62
En 2024, Motorola a sorti le Razr 50 Ultra, l’un des meilleurs smartphones pliants de type « Flip » de l’année. Voire le meilleur, tant il maitrise son sujet. Il est cohérent par rapport à son public. Il a tous les arguments pour plaire à tous les utilisateurs à la recherche d’un téléphone compact et puissant. Et son prix n’était pas si élevé pour un produit aussi ambitieux. Il ne mérite pas la note maximale. Mais il cochait presque toutes les cases.
Lire aussi – Prise en main du Galaxy S25 Edge : un beau bijou qui mise tout sur la finesse
Un an plus tard, voici son successeur, le Razr 60 Ultra. S’il en reprend en grande partie la recette, Motorola apporte quelques retouches classiques, mais aussi des modifications importantes qui concernent la charge, les matériaux de la coque et, surtout, la photo. Si la très grande majorité de ces changements sont positifs, d’autres peuvent négatifs en fonction des attentes des utilisateurs. En outre, le prix évolue à la hausse. Dans ces conditions, le rapport qualité-prix est-il toujours en faveur de Motorola ? C’est ce que nous allons voir dans ce test.
Prix et date de disponibilité 1wl6y
Le prix public conseillé du Razr 60 Ultra se monte à 1299 euros. Il n’existe qu’une seule version du smartphone avec 16 Go de mémoire vive et 512 Go de stockage. Il est 100 euros plus cher que son prédécesseur, une évolution tarifaire qui se justifie par le changement de processeur, les nouveaux matériaux de la charnière, le volume de RAM et de stockage plus important et le nouveau module photo principal. Les Razr 40 Ultra et 50 Ultra étaient proposés à 1199 euros.
Le Razr 60 Ultra est désormais plus cher que le Galaxy Z Flip 6, son principal (seul ?) concurrent, lequel a été lancé à 1199 euros en juillet 2024. Mais sa configuration était moins généreuse (12 Go de RAM et 256 Go de stockage). À volume de stockage équivalent, le prix public conseillé du Galaxy Z Flip 6 est toujours plus élevé que celui du Razr 60 Ultra : 1319 euros. Il est probable que le prochain Flip de Samsung soit vendu autour des 1300 euros.
Le Razr 60 Ultra est d’ores et déjà disponible en , aussi bien sur la boutique officielle de Motorola que chez les revendeurs habituels. Il se décline en quatre coloris : « Cabaret » (rose), « Rio Red » (rouge), « Mountain Trail » (beige) et « Scarab » (vert). Dans la boite, vous retrouvez le smartphone, un câble USB-C et une coque de protection. Cette dernière est très pratique, puisqu’elle permet de tenir le téléphone en biais pour le poser sur une table par exemple. Un film en plastique, posé en usine et à ne retirer sous aucun prétexte, protège l’écran principal.
Design et interface 3f5uq
Démarrons ce test avec le design. Le Razr 60 Ultra repose sur la même architecture que son prédécesseur. Un bel écran interne qui se plie. Un bel écran externe qui monopolise toute la surface externe et entoure deux objectifs photo légèrement protubérants. Un châssis en métal. Jusque-là, rien de bien nouveau. Même au niveau des dimensions et du poids, les deux générations sont extrêmement proches : même hauteur (à 0,1 mm près), même largeur et même hauteur (à 0,1 mm près aussi). Le poids augmente légèrement de 10 grammes.
Le changement le plus flagrant concerne les couleurs du téléphone et les textures qui vont avec. Pour chaque coloris, un matériau différent : cuir végan pour le rouge, bois pour le beige, satin pour le fuchsia ou alcantara pour le vert. Vous pouvez découvrir ici la version verte en alcantara. Le tissu est ici entouré de cuir végan sur les bords du téléphone afin de le protéger des aléas de la vie, notamment les frottements avec les poches. Nous avons quand même peur que ce matériau retienne beaucoup la poussière et vieillisse assez mal. Nous préférons largement la version bois.
Les tranches sont en aluminium. Nous y retrouvons les éléments habituels et plusieurs microphones (tranche de gauche, tranche supérieure et tranche inférieure) pour assurer une bonne captation de la voix lors des appels, quelle que soit la position du téléphone (ouvert, fermé ou semi-ouvert). Dans le bouton de mise en marche se cache le lecteur d’empreinte, comme précédemment. Et, petite surprise, nous retrouvons aussi un bouton supplémentaire. Motorola l’appelle « Touche IA » et a programmé par défaut l’accès à Moto AI. Mais les actions associées à ce bouton peuvent être modifiées.
Nouveauté qui ne se voit pas, la charnière a changé. Elle est désormais en titane et non plus en acier inoxydable. Le but : alléger, réduire et renforcer cette pièce maitresse. Grâce à cela, la pliure de l’écran principal serait moins marquée. Et c’est vrai, même si elle se remarque quand même. Cet écran est protégé par une bordure légèrement surélevée. La taille de la dalle est un peu plus grande, ant à 7 pouces. Mais cela ne va pas changer vos habitudes. Un poinçon est présent au centre de la bordure supérieure, sous l’écouteur.
L’interface du Rarz 60 Ultra est Moto UI, ici basée sur Android 15, sans vraie surprise. La version proposée ici est très proche de celle que nous avons testée avec le Edge 60 Fusion. Nous y retrouvons bien évidemment les deux écrans d’accueil, le tiroir d’applications avec Moto AI intégré, le volet de paramétrage rapide fusionné avec celui des notifications, et une brochette contenue d’applications installées par défaut (Adobe Scan, Facebook, Linkedin, Amazon Music et Opera).
Vous retrouvez aussi toute la suite Moto AI déjà découverte précédemment. Et même plus encore. En effet, puisqu’il est équipé du Snpdragon 8 Elite, contrairement au Edge 60 Fusion, le Razr 60 Ultra profite de quelques fonctionnalités supplémentaires, dont une partie est prise en charge localement. Vous avez Playlist Studio qui permet de créer des playlists automatiquement (compatible uniquement avec Amazon Music dans un premier temps). Vous avez Next Move qui prédit votre prochaine action en fonction de ce qu’il y a à l’écran (un peu comme Magic Portal chez Honor).
Notez que pour l’achat du Razr 60 Ultra, Motorola offre 3 mois d’abonnement à Google One (pour accéder à Gemini Live) et 3 mois de à Perplexity, si vous avez envie d’essayer une alternative à Gemini, Copilot et ChatGPT. Côté logiciel, Motorola reste sur 3 ans de mise à jour d’Android et 4 ans de patch de sécurité. C’est toujours insuffisant. Mais la marque devra changer cela dès le second semestre 2025.
Écrans, performances et batterie 5d3b5k
ons aux tests techniques, en commençant avec les deux écrans. Après avoir mis l’accent sur l’écran externe en 2024, Motorola davantage travaillé sur l’écran interne cette année. Quelques éléments sont communs entre la dalle du Razr 50 Ultra et celle du Razr 60 Ultra : il s’agit toujours d’un écran AMOLED LTPO 165 Hz (l’interface ne monte que jusqu’à 120 Hz). Et la certification Dolby Vision est toujours de mise. Voilà pour les points communs.
Tout le reste change. La taille augmente à 7 pouces. La définition e au 1,5K pour une résolution de 464 pixels par pouce. Ce n’était certainement pas nécessaire, car cela impacte certainement sur l’autonomie. La luminosité théorique e à 4500 nits en pointe locale. Nous avons mesuré une luminosité manuelle maximale qui dée de peu les 500 nits, ce qui est bien. En plein soleil, cela reste un peu juste à cause des reflets. La colorimétrie est améliorée : le delta E moyen e à 1,7 seulement (contre 1,9) avec le profil « couleurs naturelles », tandis que la température moyenne est presque parfaite (6430°).
L’écran externe, également AMOLED LTPO, ne change pas par rapport à 2024. Il reste à 4 pouces avec une définition équivalente au Full HD, pour une résolution de 417 pixels par pouce. Sa luminosité est de 3000 nits en pointe locale et de 500 nits en mode manuel. La température moyenne des couleurs est de 6533°. Son taux de rafraichissement reste à 165 Hz et il est toujours compatible Dolby Vision. Là encore, certains choix sont étonnants : pourquoi monter à 165 Hz sur l’écran externe, alors que ce taux n’est accessible qu’en mode jeu ?
Sous le capot, le moteur du Razr 60 Ultra n’est pas un inconnu : il s’agit du Snapdragon 8 Elite avec ses 16 Go de RAM, auxquels s’ajoutent de la RAM virtuelle : de 4 Go à 16 Go. Notez que l’IA permet de moduler le volume de RAM virtuelle en fonction des besoins et de la place disponible. C’est plutôt intelligent, même si, avec 16 Go de RAM physique, cette option est clairement inutile.
Le Razr 60 Ultra profite donc de l’un des SoC les plus puissants à date. Mais Motorola a fait le choix de légèrement brider ses performances. Pratiquement tous les benchmarks le confirment : les scores du Razr sont un peu en dessous des autres plates-formes. La différence est d’ailleurs un peu plus marquée sur les tests du GPU que sur les tests plus généraux ou centrés sur le U. Et c’est prudent de la part de Motorola. D’abord pour réduire la consommation d’énergie et augmenter l’autonomie. Ensuite pour réduire les risques de surchauffe.
Parce que le smartphone chauffe beaucoup quand le Snapdragon 8 Elite est sollicité. AIDA64 indique que certaines parties du téléphone montent à plus de 60°C. Avec notre caméra thermique, nous avons mesuré une température supérieure à 50°C à plusieurs endroits de la coque. Et nous avons même mesuré une pointe à 59°C sur la face avant du téléphone. Si le téléphone chauffe trop, Android stoppe l’application et affiche une alerte. Vous êtes prévenus.
Heureusement, même avec Honkai Star Rail, réglé sur ses meilleurs graphismes, le téléphone ne chauffe que très peu. Et la stabilité de la plate-forme est plutôt bonne : 75 %. Le Razr 60 Ultra pourrait donc être une bonne console de jeu occasionnelle.
Concernant la batterie, Motorola a fait de grands efforts. D’abord, la capacité a drastiquement augmenté, ant de 4000 mAh à 4700 mAh, raison pour laquelle le téléphone a légèrement pris de l’embonpoint. Mais pas uniquement, puisque la marque a effectué quelques changements structurels (peut-être même liés à la photo). Résultat, 17,5 % de capacité en plus. Ce n’est pas rien, surtout dans un smartphone pliant où la charnière et le châssis prennent beaucoup de place.
Cette augmentation de la capacité, associée aux arbitrages sur les performances du processeur, a un impact direct sur l’autonomie. Sur PCMark, le Razr 60 Ultra frôle les 19 heures d’utilisation continue avec l’écran principal. Cela représente entre deux jours et deux jours et demi en usage standard (web, réseaux sociaux, messagerie, streaming, mail, casual gaming, etc.). Le Razr 50 Ultra frôlait les deux jours dans les mêmes conditions. C’est donc très bien. Les joueurs peuvent profiter d’une autonomie de 5 à 7 heures environ.
À cela s’ajoute une amélioration des conditions de charge. En effet, le Razr 60 Ultra est compatible avec la charge rapide 68 watts, contre 45 watts pour son prédécesseur. Sans oublier la charge sans fil 15 watts qui reste d’actualité. Si vous avez un chargeur 68 watts de Motorola, vous rechargez le téléphone de 0 % à 100 % en 55 minutes précisément, sans l’option « Boost de charge ». Le Razr 50 Ultra faisait mieux (moins de 50 minutes), certes. Mais il n’avait pas la même capacité à remplir ! Pour protéger cette belle batterie, Moto UI intègre la charge programmée et la limite de charge à 80 %.
Photos, vidéos et audio 1e1q1j
Terminons ce test avec la partie multimédia. En photo, il y a plusieurs changements, parfois déroutants. C’est le cas notamment du téléobjectif, remplacé ici par un objectif ultra grand-angle. Lors du test du Razr 50 Ultra, nous notions à quel point intégrer un zoom optique était une bonne idée. Ce retour en arrière est vraiment surprenant. Bien sûr, grâce à ce changement, nous retrouvons un vrai mode macro. Le capteur derrière cet objectif panoramique reste le même.
Autre changement, le capteur photo principal. C’est toujours un 50 MP signé Sony. Mais il a été remplacé par le Lytia 700C, un modèle presque deux fois grand et doté d’un autofocus plus performant. Enfin, le module selfie change aussi : capteur plus précis, objectif plus lumineux, c’est une petite révolution… alors que le capteur selfie n’est pas forcément le plus utile ici, même pour prendre des selfies. Voici en détail la configuration présente ici :
- Principal : capteur 50 MP, objectif ouvrant à f/1.8, taille du pixel à 1 micron, autofocus à détection de phase, stabilisateur optique
- Panorama : capteur 50 MP, objectif ouvrant à f/2.0, autofocus à détection de phase, angle de vue 122°
Selfie : capteur 50 MP, objectif ouvrant à f/2.0
Les résultats proposés sont globalement bons. Les clichés du nouveau capteur principal sont nets, précis et colorés. Le HDR n’est pas trop prononcé. La plage dynamique est assez large, même si nous avons vu des résultats plus lumineux en contre-jour chez la concurrence. L’autofocus est précis, mais il n’est pas toujours très rapide. Les sujets en mouvement sont donc légèrement flous (comme les roues de la voiture ci-dessous).
De nuit, le capteur principal continue d’être très bon, même si l’augmentation du temps de pause peut affecter la netteté des clichés. Le mode nuit apporte davantage d’équilibre à la scène, en maitrisant davantage les sources lumineuses. En revanche, le mode nuit peut provoquer des aberrations à cause du temps de pause trop long.
Le zoom 2x est très bon et reste correct à 4x. Entre 4x et 10x, le bruit est plus présent, rendant les photos difficilement exploitables, ce qui n’était pas le cas avec le Razr 50 Ultra. Dommage. Le zoom numérique monte jusqu’à 30x. À quoi bon sur un tel équipement ? En soirée, si le rapport 2x reste correct, le rapport 4x est victime d’un bruit important.
Le mode portrait est très réussi. Il propose trois focales différentes, mais c’est toujours le capteur principal qui effectue la photo. Les détails sont nombreux. Les textures sont respectées. Et le détourage est précis. Pour les selfies, vous avez le choix entre les réaliser avec le capteur principal en utilisant l’écran externe ou le capteur selfie en utilisant l’écran interne.
Le capteur ultra grand-angle est loin d’être mauvais. Il est lumineux et précis. Les distorsions sont bien gérées. Mais les couleurs sont moins vives et moins contrastées. La nuit, les couleurs et la luminosité restent bonnes, contrairement à d’autres modules similaires. Mais la netteté est plus difficile à obtenir. Puisque le mode macro est de retour, autant s’en servir. Et les résultats sont ici très satisfaisants, même si le délai de prise de vue est assez long. Un souffle de vent sur la fleur que vous prenez et votre cliché est flou. C’est notamment le cas la nuit, quand le temps de pause est plus long encore.
En vidéo, le Razr 60 Ultra profite des mêmes qualités qu’en photo, avec une belle lumière et de belles couleurs. Le smartphone peut filmer en 4K jusqu’à 60 images par seconde et peut monter en 8K en 30 images par seconde. Le zoom numérique monte à 6x, mais le bruit est très présent à partir de 4x en journée. La nuit, la lumière et les couleurs restent bonnes, mais la netteté n’est pas toujours au rendez-vous, surtout si vous zoomez. Attention, l'ultra grand-angle est moins convaincant en vidéo, surtout la nuit. La prise de son est plutôt bonne, mais il n’y a pas de suppression du vent, ce qui peut réduire la qualité des voix.
En audio, le Razr 60 Ultra peut compter sur deux haut-parleurs asymétriques certifiés cette année Dolby Atmos. Cela veut dire qu’il est enfin possible de profiter de tous les avantages du codec et de l’égaliseur complet Dolby sans avoir besoin d’un casque ou d’écouteurs. À cela s’ajoute la suite Snapdragon Sound avec l’ensemble de ses codecs sans fil : aptX HD, aptX Lossless et aptX Adaptive. Le Razr 60 Ultra est également compatible Bluetooth 5.4.
La puissance offerte par cette configuration stéréo est bonne : inutile de monter le son trop haut pour bien en profiter, même si le haut-parleur secondaire reste moins performant. La qualité sonore est globalement au rendez-vous. Les basses sont assez présentes. Les aigus ne sont pas trop masqués derrière les médiums, notamment sur le haut-parleur principal. Les voix sont bien reproduites. Nous notons un léger souffle sur le haut-parleur secondaire. En augmentant le son, vous conservez du détail, mais certains grésillements peuvent altérer l’expérience.
Alors, on achète ? 5z5o17
Le Razr 60 Ultra offre globalement la même expérience que son prédécesseur. Les écrans sont top. Les performances sont bonnes. Le design est amélioré, même si certains matériaux de la coque peuvent étonner. Les performances sont toujours bonnes. L’autonomie est encore meilleure. Les photos du capteur principal sont excellentes. Reste le seul vrai sujet d’achoppements, outre le nombre d’années de mise à jour : le remplacement du téléobjectif pour un module ultra grand-angle. Le zoom optique était un argument fort face à Samsung. Ce n’est désormais plus le cas. Et c’est bien dommage.

-
Darty936.99€
-
Pixmania FR1094.08€
-
Amazon1178€
-
Fnac1265.9€
-
Cdiscount1293.29€
-
Boulanger1301.99€
-
Rakuten1301.99€
Le Razr 60 Ultra est un très bon smartphone pliant qui peut assumer quasiment toutes vos envies : du style, de la puissance, de l'autonomie, deux beaux écrans, il n'a que peu de défauts. En revanche, les photographes amateurs pourraient se retrouver coincer dans cette nouvelle configuration sans zoom optique, mais avec un capteur ultra grand-angle, même si ce dernier fait plutôt bien son boulot.
- Le très beau design (surtout de la version bois)
- L'arrivée d'un nouveau bouton personnalisable
- L'écran externe toujours très bon, toujours très pratique
- La colorimétrie de l'écran interne nettement amélioré
- Les performances solides du téléphone
- La très bonne autonomie et la charge toujours rapide
- Les beaux résultats du capteur photo
- Dolby partout : écran, captation vidéo, audio...
- L'alcantara, on doute de sa longévité
- La chauffe vraiment très prononcée lors des benchmarks
- Le nombre d'années de mise à jour d'Android
- La suppression du module téléobjectif
- Le bruit gênant du zoom numérique en vidéo
- Les 100 euros de plus sur la facture